Notamment en France, la location immobilière est régi par des règlements bien strictes. Ils se départagent en général en deux catégories selon leur statut : professionnel et personnel. Le premier se nomme LMP ou Loueur Meuble Professionnel et le deuxième Loueur Meuble Non Professionnel ou LMNP. Les deux ont leurs propres critères et peuvent présenter aussi bien des avantages que des inconvénients.
Les conditions du LMP ou loueur Meuble professionnel
C’est un statut de location qui touche uniquement les entreprises ou personnes physiques disposant de Commerce et des Sociétés (RCS). Le LMP concerne exclusivement les locations de mobiliers à usage professionnel ou plus précisément apporte au moins 50% de revenu avec une recette supérieure à 23 000 € TTC. Ces 3 trois conditions réunies qualifient donc la location en catégorie professionnelle LMP. Si une seule d’entre elles manque, automatiquement, on parlerait de LMNP. Pourtant, il y a bien des avantages à profiter, expliqués en ligne sur le site defiscalisationconseil.fr.
Les avantages avec le LMP
En effet, les avantages peuvent varier selon les circonstances. Pour des professionnels autres que les micro-entreprises, l’avantage est assez logique. Ils ne sont pas assujettis à la TVA et jouissent d’exonération de quelques charges : frais d’établissements, frais d’entretien et de réparation, impôts locaux, frais de gestion et d’assurances, etc… ils bénéficient donc des avantages apportés par le régime réel d’imposition.
Imputation des déficits : les avantages du LMP bien conditionnés
Un des privilèges du statut LMP est l’imputation des déficits déclarés sur la totalité des revenus d’un foyer fiscal. Pourtant, celui-ci est parfois évoqué est strictement amoindri par la difficulté sur la constatation des déficits fiscalement déductibles venant de la réduction apportée par les amortissements. Outre, cette situation aboutit à ne pas constater de déficit fiscal, dans la totalité des cas de loueurs en meublé. On peut par contre enregistrer des amortissements imputables ou reportables sur les plus values réalisées postérieurement, sans que ces éventualités de renvoi ou d’imputation soient encadrées dans le temps.